Prix : EUR 8,50
Sans langue de bois. .
Assisté du britannique James Fox en guise de co-auteur, un ami de longue date, Keith Richards, le sulfureux guitariste des Stones publie une autobiographie pleine de vie, d'humour, de fantaisie qu'il nous tardait de voir sortir. Life, sous la plume de Fox, raconte toutes les confidences que Mister Rock `n' Roll a faites à son collaborateur du moment, rencontré pour la première fois en 1973, complétées par des témoignages de proches du guitariste comme Bobby Keys (saxophoniste) ou Ronnie Spector. Dédié à son épouse Patricia, avec laquelle il vit depuis le début des eighties, Life balance avec le cautionnement de l'interviewé. Excès, hauts et bas d'une vie de star du rock, ses rapports tumultueux avec celui qui est devenu Jagger l'insupportable, Sa Majesté comme il l'appelle, quant à la suite à donner à la carrière des Stones (Jagger a demandé à censurer un passage), Keith évoque également le couillon de Lennon qui n'est jamais sorti de chez lui autrement qu'à l'horizontale, sa relation avec Anita Pallenberg, Gram Parsons, l'homme qui a rendu la country abordable. Il se garde bien cependant de recommander à quiconque de mener cette putain de vie de junkie, lui l'accro aux drogues dures, et qu'il évoque avec franchise, sans feindre, sans regrets. Pour la première fois, il parle avec pudeur et sans langue de bois, de la perte de Tara, son fils décédé en 1976, peu après sa naissance, alors que les Stones assuraient une tournée parisienne, événement tragique que ce père de famille trane depuis comme un boulet. Richards dévoile, par ailleurs, quelques ficelles sur sa technique de jeu et sur sa conception de Satisfaction, retrace son éducation musicale ou ne cache absolument rien sur sa préparation de la saucisse/purée... Ces mémoires sont à la hauteur de la personnalité du personnage, le contenu ne manque pas de croustillance et de franc-parler. Life rend cet excessif et turbulent artiste, encore plus attachant. Je me suis régalé et j'ai bien ri, mme si l'affaire a un petit cté nombriliste. En format "Poche", c'est toujours plus pratique... (PLO54).
Assisté du britannique James Fox en guise de co-auteur, un ami de longue date, Keith Richards, le sulfureux guitariste des Stones publie une autobiographie pleine de vie, d'humour, de fantaisie qu'il nous tardait de voir sortir. Life, sous la plume de Fox, raconte toutes les confidences que Mister Rock `n' Roll a faites à son collaborateur du moment, rencontré pour la première fois en 1973, complétées par des témoignages de proches du guitariste comme Bobby Keys (saxophoniste) ou Ronnie Spector. Dédié à son épouse Patricia, avec laquelle il vit depuis le début des eighties, Life balance avec le cautionnement de l'interviewé. Excès, hauts et bas d'une vie de star du rock, ses rapports tumultueux avec celui qui est devenu Jagger l'insupportable, Sa Majesté comme il l'appelle, quant à la suite à donner à la carrière des Stones (Jagger a demandé à censurer un passage), Keith évoque également le couillon de Lennon qui n'est jamais sorti de chez lui autrement qu'à l'horizontale, sa relation avec Anita Pallenberg, Gram Parsons, l'homme qui a rendu la country abordable. Il se garde bien cependant de recommander à quiconque de mener cette putain de vie de junkie, lui l'accro aux drogues dures, et qu'il évoque avec franchise, sans feindre, sans regrets. Pour la première fois, il parle avec pudeur et sans langue de bois, de la perte de Tara, son fils décédé en 1976, peu après sa naissance, alors que les Stones assuraient une tournée parisienne, événement tragique que ce père de famille trane depuis comme un boulet. Richards dévoile, par ailleurs, quelques ficelles sur sa technique de jeu et sur sa conception de Satisfaction, retrace son éducation musicale ou ne cache absolument rien sur sa préparation de la saucisse/purée... Ces mémoires sont à la hauteur de la personnalité du personnage, le contenu ne manque pas de croustillance et de franc-parler. Life rend cet excessif et turbulent artiste, encore plus attachant. Je me suis régalé et j'ai bien ri, mme si l'affaire a un petit cté nombriliste. En format "Poche", c'est toujours plus pratique... (PLO54).
Guitar Heroe .
On a tous un jour rvé d'tre une rock star, avec la célébrité, les palaces, les groupies et la vie facile. Ce livre nous en donne la possibilité, mais il raconte aussi l'envers du décor.Le guitariste du groupe le plus célèbre du monde encore en activité a forcément des choses intéressantes à raconter, d'autant qu'il se décrit lui mme comme un survivant, tant la pression de rester toujours au "top" est forte. Sa vision du monde est probablement déformée, subjective. M. Richards enjolive les faits en sa faveur. Car Keith n'est pas vraiment un enfant de coeur, ce qu'il assume totalement. Tout au long de ces 700 pages qui ne donnent qu'un aperu de sa longue vie, il raconte de faon brute la mort de ses amis victimes du succès, de l'argent facile et de la dope, sa période junkie, ses relations tumultueuses avec "Mick", sa vie sentimentale de rock star... Mais le plus intéressant sont les passages sur les débuts du groupe, les phases de création des disques, les tournées épuisantes et déconnectées de la réalité du monde, ou les multiples rencontres avec les autres artistes, notamment Chuck Berry dans les années 80. Pas besoin d'tre musicien pour suivre ce parcours intense d'une vie bien remplie.Keith Richards narcissique ? Sa réponse se trouve page 315 :" Je crois qu'ils ne calculent pas vraiment ce que la musique représente pour moi. Je ne fais pas a pour l'argent ni pour vous. Je fais a pour moi." Et pour notre plus grand plaisir !Un livre pas superbement bien écrit (les dernières pages du livre sont inutiles) mais qui vous donne une furieuse envie de réécouter Beggar Banquets ou Sticky Fingers !
On a tous un jour rvé d'tre une rock star, avec la célébrité, les palaces, les groupies et la vie facile. Ce livre nous en donne la possibilité, mais il raconte aussi l'envers du décor.Le guitariste du groupe le plus célèbre du monde encore en activité a forcément des choses intéressantes à raconter, d'autant qu'il se décrit lui mme comme un survivant, tant la pression de rester toujours au "top" est forte. Sa vision du monde est probablement déformée, subjective. M. Richards enjolive les faits en sa faveur. Car Keith n'est pas vraiment un enfant de coeur, ce qu'il assume totalement. Tout au long de ces 700 pages qui ne donnent qu'un aperu de sa longue vie, il raconte de faon brute la mort de ses amis victimes du succès, de l'argent facile et de la dope, sa période junkie, ses relations tumultueuses avec "Mick", sa vie sentimentale de rock star... Mais le plus intéressant sont les passages sur les débuts du groupe, les phases de création des disques, les tournées épuisantes et déconnectées de la réalité du monde, ou les multiples rencontres avec les autres artistes, notamment Chuck Berry dans les années 80. Pas besoin d'tre musicien pour suivre ce parcours intense d'une vie bien remplie.Keith Richards narcissique ? Sa réponse se trouve page 315 :" Je crois qu'ils ne calculent pas vraiment ce que la musique représente pour moi. Je ne fais pas a pour l'argent ni pour vous. Je fais a pour moi." Et pour notre plus grand plaisir !Un livre pas superbement bien écrit (les dernières pages du livre sont inutiles) mais qui vous donne une furieuse envie de réécouter Beggar Banquets ou Sticky Fingers !
Sans surprise en somme ! .
Lui est accros à tout un tas de choses, moi ce sont les auto- ou "hétéro" - biographies de musiciens. Impossible de dire combien j'en ai lues ! Les meilleures ? en vrac celle de Clapton, Bowie, Nina Simone, Janis, Jim... peut tre justement parce que ce genre de personnages à traversé 50 ans (ou 27 ...) de vie, de luttes, de musiques, de révolutions, de soulèvements sociaux, de bouleversements musicaux, et malgré les abus, les tragédies, ils ont survécu assez longtemps, pour que l'on puisse accorder un vrai crédit à leurs propos. Celui-ci, je n'en voulais pas. Les Stones ne me passionnent plus du tout depuis Black'n'Blue, et "Let it Bleed" t "After math" sont pour moi leurs chefs d'oeuvre loin devant Exile et tant d'autres unanimement reconnus. Leurs "live" (hormis le premier officiel) sont en général pitoyables. Mais comme celui-ci m'a été offert avec plaisir... c'est à lire. Si le premier tiers du livre est à mon got intéressant, voire mme passionnant par moment (débuts, héritages ou "pillage" ?? black musique..), près de la motié du livre est ensuite consacrée à la défonce du garon, et tout est bon, par tous les modes d'administration possibles et imaginables, à ses démlées avec le justice. Je n'ai rien trouvé de vraiment sulfureux dans le livre, très peu, trop peu de choses sur Brian, ni mme sur les autres Stones. Quelques rares anecdotes sur Stu, Billy Preston, les cuivres qui les ont parfois accompagnés, et à mon avis "quedale" sur Jagger ! Quand on pense que ces gars là sont THE tandem musical légendaire encore en activité (avec justement Stone et Charden), on reste sur sa faim. Des photos magnifiques, surtout celle ou il joue de la gratte dans sa bibliothèque !! (doit y avoir des trésors là dedans), des photos de famille, d'enfance. A mon avis, cette biographie aurait pu tre beaucoup moins pléthorique, et plus dirigée vers la créativité musicale.
Lui est accros à tout un tas de choses, moi ce sont les auto- ou "hétéro" - biographies de musiciens. Impossible de dire combien j'en ai lues ! Les meilleures ? en vrac celle de Clapton, Bowie, Nina Simone, Janis, Jim... peut tre justement parce que ce genre de personnages à traversé 50 ans (ou 27 ...) de vie, de luttes, de musiques, de révolutions, de soulèvements sociaux, de bouleversements musicaux, et malgré les abus, les tragédies, ils ont survécu assez longtemps, pour que l'on puisse accorder un vrai crédit à leurs propos. Celui-ci, je n'en voulais pas. Les Stones ne me passionnent plus du tout depuis Black'n'Blue, et "Let it Bleed" t "After math" sont pour moi leurs chefs d'oeuvre loin devant Exile et tant d'autres unanimement reconnus. Leurs "live" (hormis le premier officiel) sont en général pitoyables. Mais comme celui-ci m'a été offert avec plaisir... c'est à lire. Si le premier tiers du livre est à mon got intéressant, voire mme passionnant par moment (débuts, héritages ou "pillage" ?? black musique..), près de la motié du livre est ensuite consacrée à la défonce du garon, et tout est bon, par tous les modes d'administration possibles et imaginables, à ses démlées avec le justice. Je n'ai rien trouvé de vraiment sulfureux dans le livre, très peu, trop peu de choses sur Brian, ni mme sur les autres Stones. Quelques rares anecdotes sur Stu, Billy Preston, les cuivres qui les ont parfois accompagnés, et à mon avis "quedale" sur Jagger ! Quand on pense que ces gars là sont THE tandem musical légendaire encore en activité (avec justement Stone et Charden), on reste sur sa faim. Des photos magnifiques, surtout celle ou il joue de la gratte dans sa bibliothèque !! (doit y avoir des trésors là dedans), des photos de famille, d'enfance. A mon avis, cette biographie aurait pu tre beaucoup moins pléthorique, et plus dirigée vers la créativité musicale.
Globalement chiant..plus dopes que Rock'n'Roll .
Rien que l'on ne sache déjà, sauf si l'on découvre les Stones.Ce bouquin aurait été autrement plus intéressant s'il avait 200 pages au lieu du triple...Trop de pages consacrées à la drogue, pas assez à la musique ! c'est sans doute pour donner un cté ultime au personnage.. En définitive, on apprend peu de choses concernant les autre membres du groupe. Keith réabilite Ian Stewart dans son rle fondateur et ne semblait guère aimer Brian Jones. Bon, ce n'est pas critiquable en soi, juste un choix de l'auteur. Je reste tout de mme sur ma faim et pourtant je reste fan des Stones (jusqu'à Black'nBlue, après...)
Rien que l'on ne sache déjà, sauf si l'on découvre les Stones.Ce bouquin aurait été autrement plus intéressant s'il avait 200 pages au lieu du triple...Trop de pages consacrées à la drogue, pas assez à la musique ! c'est sans doute pour donner un cté ultime au personnage.. En définitive, on apprend peu de choses concernant les autre membres du groupe. Keith réabilite Ian Stewart dans son rle fondateur et ne semblait guère aimer Brian Jones. Bon, ce n'est pas critiquable en soi, juste un choix de l'auteur. Je reste tout de mme sur ma faim et pourtant je reste fan des Stones (jusqu'à Black'nBlue, après...)
Keith par Keith .
Keith se livre, débonnaire, avec son style bien à lui : presque trop par-dessus ma jambe mais sincère. Des débuts difficiles aux tournées gigantesques en passant par la drogue, l'enfance, les relations houleuses avec Mick dit "sa majesté" ou "Brenda" puis les femmes, Keith n'oublie pas grand-chose mais c'est raconté souvent trop vite (Altamont est expédié en un éclair de mme que certains points comme la disparition de son fils), de manière très décousue. Puis après "Exile On Main Street", les albums défilent sans qu'il en parle vraiment, il aborde parfois la musique mais le groupe n'est plus le centre d'intért des discussions. Il passe plus de temps à évoquer son chat Voodoo que "A Bigger Bang" ou d'autres disques!Bref, je m'attendais à un déballage énorme de souvenirs croustillants et c'est tout de mme raconté de manière tranquille, à l'image du bonhomme. Il semble mme presque trop gentil, trop pépère... Les Inrockuptibles parlent de la vie la plus rock n' roll du siècle mais pour les amateurs, lisez "The Dirt", la biographie de Mötley Crüe, c'est autrement plus sauvage, plus cru et mme plus amusant. C'est sr qu'on se souviendra toujours des Stones par rapport au Crüe mais j'imaginais un bouquin plus corsé! J'ai adoré le lire mais je m'attendais quand mme à autre chose.
Keith se livre, débonnaire, avec son style bien à lui : presque trop par-dessus ma jambe mais sincère. Des débuts difficiles aux tournées gigantesques en passant par la drogue, l'enfance, les relations houleuses avec Mick dit "sa majesté" ou "Brenda" puis les femmes, Keith n'oublie pas grand-chose mais c'est raconté souvent trop vite (Altamont est expédié en un éclair de mme que certains points comme la disparition de son fils), de manière très décousue. Puis après "Exile On Main Street", les albums défilent sans qu'il en parle vraiment, il aborde parfois la musique mais le groupe n'est plus le centre d'intért des discussions. Il passe plus de temps à évoquer son chat Voodoo que "A Bigger Bang" ou d'autres disques!Bref, je m'attendais à un déballage énorme de souvenirs croustillants et c'est tout de mme raconté de manière tranquille, à l'image du bonhomme. Il semble mme presque trop gentil, trop pépère... Les Inrockuptibles parlent de la vie la plus rock n' roll du siècle mais pour les amateurs, lisez "The Dirt", la biographie de Mötley Crüe, c'est autrement plus sauvage, plus cru et mme plus amusant. C'est sr qu'on se souviendra toujours des Stones par rapport au Crüe mais j'imaginais un bouquin plus corsé! J'ai adoré le lire mais je m'attendais quand mme à autre chose.
VALEUR SURE .
Un livre pour les amoureux du sujet et de l'époque. Un beau cadeau à faire. En cours de lecture, donc difficile d'en dire plus.
Un livre pour les amoureux du sujet et de l'époque. Un beau cadeau à faire. En cours de lecture, donc difficile d'en dire plus.
Cons Review
Plus que médiocre ... .
On sait que keith richards n'est pas vraiment connu pour ses références littéraires et il nous le prouve !!!On n'apprend rien de plus que ce qui est déjà connu sur le groupe, aucune précision sur le processus créatif et quand il donne quelques détails sur la composition c'est pour nous bassiner en 50 pages sur son accordage en open tuning de sol... passionnant !!!Ajoutez y environ 500 pages sur la dope et toutes les manières de se défoncer et vous aurez une bonne autobiographie d'auto suffisance pour rescapés des sixties... En bref c'est écrit avec les pieds !!!Continue a faire de la musique keith, au moins là tu es bon !!!
On sait que keith richards n'est pas vraiment connu pour ses références littéraires et il nous le prouve !!!On n'apprend rien de plus que ce qui est déjà connu sur le groupe, aucune précision sur le processus créatif et quand il donne quelques détails sur la composition c'est pour nous bassiner en 50 pages sur son accordage en open tuning de sol... passionnant !!!Ajoutez y environ 500 pages sur la dope et toutes les manières de se défoncer et vous aurez une bonne autobiographie d'auto suffisance pour rescapés des sixties... En bref c'est écrit avec les pieds !!!Continue a faire de la musique keith, au moins là tu es bon !!!
Product Details
EAN : 9782757823569Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : Keith Richards
Binding : Poche
Manufacturer : Points
PublicationDate : 2011-10-06
Publisher : Points
SKU : 9782757823569
Studio : Points
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