Prix : EUR 20,00
Anthologie de l'histoire du rock et de la pop music au travers d' albums classés par ordre alphabétique, accompagnés d'une photographie de leur pochette et des renvois.
Entre autres artistes: Nick Drake, Robert Wyatt, Peter Hammill, Captain Beefheart, Can, Sonic Youth, Scott Walker, Tim Buckley, Syd Barrett, ...
This review is from : Rock, Pop, Un Itinéraire bis en 140 albums essentiels
Encore un livre essentiel pour les curieux .
Les Beatles, les Rolling Stones, Dylan, Hendrix ou Springsteen n'ont plus de secret pour vous ? Radiohead, Muse, Coldplay ou "le nouveau groupe sauveur du rock" annoncé chaque mois à grands coups de couvertures de magazines vous agacent, vous ennuient ou pis vous indiffèrent ? En gros, vous trouvez que tout cela ronronne, vous aimeriez tre un minimum surpris, sortir des sentiers battus ? Quitter "l'autoroute mainstream" pour prendre les "chemins de traverse" ? Philippe Robert a pensé à vous. Sur le mme modèle que son excellent Great black music, un parcours en 110 albums essentiels, il nous livre une pertinente sélection d'albums pop ou rock (au sens très large) assez méconnus du grand public, oeuvres sans concession d'artistes qui le sont tout autant, privilégiant l'aspect artistique plutt que la recherche du succès commercial (que certains obtiendront tout de mme). En 140 disques (voir 99 d'entre eux dans mes 4 listes portant le mme titre que le livre), couvrant 40 ans de l'histoire du Rock (1965-2005), découvrez un large panorama d'artistes représentatifs de divers courants musicaux (pop psychédélique, folk, rock progressif, industriel, krautrock, noise, new wave, prémices de ce qu'on appelle aujourd'hui le "post-rock"...), autant de pistes pour en découvrir d'autres (nombreux renvois) et parfaire sa culture musicale.
Encore un livre essentiel pour les curieux .
Les Beatles, les Rolling Stones, Dylan, Hendrix ou Springsteen n'ont plus de secret pour vous ? Radiohead, Muse, Coldplay ou "le nouveau groupe sauveur du rock" annoncé chaque mois à grands coups de couvertures de magazines vous agacent, vous ennuient ou pis vous indiffèrent ? En gros, vous trouvez que tout cela ronronne, vous aimeriez tre un minimum surpris, sortir des sentiers battus ? Quitter "l'autoroute mainstream" pour prendre les "chemins de traverse" ? Philippe Robert a pensé à vous. Sur le mme modèle que son excellent Great black music, un parcours en 110 albums essentiels, il nous livre une pertinente sélection d'albums pop ou rock (au sens très large) assez méconnus du grand public, oeuvres sans concession d'artistes qui le sont tout autant, privilégiant l'aspect artistique plutt que la recherche du succès commercial (que certains obtiendront tout de mme). En 140 disques (voir 99 d'entre eux dans mes 4 listes portant le mme titre que le livre), couvrant 40 ans de l'histoire du Rock (1965-2005), découvrez un large panorama d'artistes représentatifs de divers courants musicaux (pop psychédélique, folk, rock progressif, industriel, krautrock, noise, new wave, prémices de ce qu'on appelle aujourd'hui le "post-rock"...), autant de pistes pour en découvrir d'autres (nombreux renvois) et parfaire sa culture musicale.
Rock, Pop, Un Itinéraire bis en 140 albums essentiels Reviews
Sortons des sentiers par nos oreilles battus. .
Au-delà des Doors, de Deep Purple, de Radiohead ou des Red Hot Chili Peppers, il existe un monde inexploré qui en vaut au moins tout autant la peine.Oh oui des encyclopédies, des X meilleurs albums des X dernières années, il en existe et à la pelle, que ce soit Philippe Manaeuvre, Gilles Verlant ou Georgette ma boulangère, rares sont ceux qui ne se sont pas essayés à l'exercice pour finalement arriver bien souvent à la mme conclusion : oui les Beatles, les Stones, Led Zeppelin ou Michael Jackson, de mme que Stewie Wonder, U2 ou Jeff Buckley ont pondu des albums sacrément bons qui resteront et qui, d'une certaine manière, auront su raconter une époque sans que l'histoire ne prenne une ride bien des années plus tard.Alors pourquoi investir ses rares deniers dans cet ouvrage de Philippe Robert, qui reprend ce concept de classement des classiques (cette fois ci ils sont 140) ? tout simplement parce que, comme son titre l'indique, il s'agit d'un itinéraire bis, qui sort donc des mmes éternels sentier battus pas les plus grandes plumes du rock. Jugez en plutt : vous auriez mis Egg dans vos 140 disques à emporter sur une le déserte vous ? et pourtant...On pourrait se poser la mme question Henry Cow (le frère de Harry ?), The Shaggs, Saggitarius ou encore Joanna Newsom. Volonté de l'auteur d'affirmer sa différence et de se la jouer fin connaisseur face à la horde de gueux ignorants ? certainement pas car on trouve aussi dans l'ouvrage des artistes bénéficiant d'une notoriété quelque peu plus conséquente : Spirit, un certain P McCartney et sa femme, Animal Collective ou Creedence Clearwater Revival. Non, tout simplement la volonté de démontrer que tout le monde n'est pas obligé d'aimer les mmes choses sans que ces dernières ne soient forcément infréquentables.Plus qu'une alternative aux listes plus mainstreams citées ci-dessus, l'ouvrage de Philippe Robert en est le parfait complément, ressuscitant les oubliés, rendant justice aux obscurs et incitant à une passionnante découverte de ceux qui ont donné leur vie pour leur passion loin des médias et des modes.Un bien bel hommage que leur rend au travers de quelques lignes de chroniques enlevées, suscitant la curiosité et l'envie de découvrir, le journaliste des Inrockuptibles. Chapeau l'auteur !
Sortons des sentiers par nos oreilles battus. .
Au-delà des Doors, de Deep Purple, de Radiohead ou des Red Hot Chili Peppers, il existe un monde inexploré qui en vaut au moins tout autant la peine.Oh oui des encyclopédies, des X meilleurs albums des X dernières années, il en existe et à la pelle, que ce soit Philippe Manaeuvre, Gilles Verlant ou Georgette ma boulangère, rares sont ceux qui ne se sont pas essayés à l'exercice pour finalement arriver bien souvent à la mme conclusion : oui les Beatles, les Stones, Led Zeppelin ou Michael Jackson, de mme que Stewie Wonder, U2 ou Jeff Buckley ont pondu des albums sacrément bons qui resteront et qui, d'une certaine manière, auront su raconter une époque sans que l'histoire ne prenne une ride bien des années plus tard.Alors pourquoi investir ses rares deniers dans cet ouvrage de Philippe Robert, qui reprend ce concept de classement des classiques (cette fois ci ils sont 140) ? tout simplement parce que, comme son titre l'indique, il s'agit d'un itinéraire bis, qui sort donc des mmes éternels sentier battus pas les plus grandes plumes du rock. Jugez en plutt : vous auriez mis Egg dans vos 140 disques à emporter sur une le déserte vous ? et pourtant...On pourrait se poser la mme question Henry Cow (le frère de Harry ?), The Shaggs, Saggitarius ou encore Joanna Newsom. Volonté de l'auteur d'affirmer sa différence et de se la jouer fin connaisseur face à la horde de gueux ignorants ? certainement pas car on trouve aussi dans l'ouvrage des artistes bénéficiant d'une notoriété quelque peu plus conséquente : Spirit, un certain P McCartney et sa femme, Animal Collective ou Creedence Clearwater Revival. Non, tout simplement la volonté de démontrer que tout le monde n'est pas obligé d'aimer les mmes choses sans que ces dernières ne soient forcément infréquentables.Plus qu'une alternative aux listes plus mainstreams citées ci-dessus, l'ouvrage de Philippe Robert en est le parfait complément, ressuscitant les oubliés, rendant justice aux obscurs et incitant à une passionnante découverte de ceux qui ont donné leur vie pour leur passion loin des médias et des modes.Un bien bel hommage que leur rend au travers de quelques lignes de chroniques enlevées, suscitant la curiosité et l'envie de découvrir, le journaliste des Inrockuptibles. Chapeau l'auteur !
Rock, Pop, Un Itinéraire bis en 140 albums essentiels Opinions
enfin ! .
Dois-je l'avouer, j'ai été particulièrement heureux de lire ce livre, tombé à un moment où je cherchais de nouveaux territoires musicaux à explorer. Autour de moi, j'ai souvant entendu cet ouvrage opposé à celui de Manoeuvre. A quoi bon ? Les deux sont différents et complémentaires. Là où le critique de Rock & Folk dégaine les classiques Led Zeppelin et Cream, celui des Inrockuptibles avance Nick Drake et Tim Buckley : match nul ! Car les deux ouvrages sont sous-tendus par une mme passion. A Gang Of Four dans le Manouevre, Robert rétorque Pere Ubu. Disons que le premier décline les classiques, le second les perles plus ou moins osbscures, mais pas seulement puisque l'on y trouve aussi des disques sous-estimés, sous évalués comme expliqué dans la préface de Gilles Tordjman et dans l'avant-propos. Beaucoup de méconnus majuscules dit Torjman, a fait du bien, et des tonnes de disques à découvrir ensuite. Je vois que ce livre a été couplé avec les "1001" que j'ai feuilleté, drle d'idée, moi je l'aurais couplé avec le Manoeuvre !
enfin ! .
Dois-je l'avouer, j'ai été particulièrement heureux de lire ce livre, tombé à un moment où je cherchais de nouveaux territoires musicaux à explorer. Autour de moi, j'ai souvant entendu cet ouvrage opposé à celui de Manoeuvre. A quoi bon ? Les deux sont différents et complémentaires. Là où le critique de Rock & Folk dégaine les classiques Led Zeppelin et Cream, celui des Inrockuptibles avance Nick Drake et Tim Buckley : match nul ! Car les deux ouvrages sont sous-tendus par une mme passion. A Gang Of Four dans le Manouevre, Robert rétorque Pere Ubu. Disons que le premier décline les classiques, le second les perles plus ou moins osbscures, mais pas seulement puisque l'on y trouve aussi des disques sous-estimés, sous évalués comme expliqué dans la préface de Gilles Tordjman et dans l'avant-propos. Beaucoup de méconnus majuscules dit Torjman, a fait du bien, et des tonnes de disques à découvrir ensuite. Je vois que ce livre a été couplé avec les "1001" que j'ai feuilleté, drle d'idée, moi je l'aurais couplé avec le Manoeuvre !
remarquable ! .
Aujourd'hui il y a beaucoup d'ouvrages sur le rock et la pop sous forme de sélections d'albums. Beaucoup trop probablement. On connat principalement par chez nous celui de Philippe Manoeuvre, pourtant il en existe d'autres, plus ou moins bons, dont certains anglosaxons d'ailleurs. Celui-ci est certainement le meilleur de tous. Par sa singularité sans équivalent. Là où tous les critiques dégainent les mmes albums archiconnus et sans suprises (Rolling Stones, Beatles, Led Zeppelin, etc) et offrent plutt des livres d'images pour Nol (reproductions pleines pages des pochettes en couleurs), celui-là, très beau au demeurant (proche d'un livre Gallimard cté papier et couverture, avec pochettes quand mme reproduites) préfère centrer son propos sur les textes, en contextualisant bien la chose, avec un style peu courant et pas rébarbatif. Les choix sont étonnants, et à regarder les liens que le livre a généré, ils ont d séduire plus d'un internaute. De 1964 à 2007, tous les genres sont représentés en 140 albums ce qui n'est pas rien. Et l'on craquera pour Jackson C. Frank, Simon Finn, Jan Dukes de Grey, Linda Perhacs, Vashti Bunyan, Bill Fay, etc. Et se laisser tenter, c'est réellemnt dépuossiérer sa discothèque ! Dans le mme style, chez le mme éditeur, sur des créneaux pas si éloignés, Philippe Robert (des Inrockuptibles) a ausi publié trois autres ouvrages aussi bons et vivement conseillés : "Great Black Music, un parcours en 110 albums", "Musiques expérimentales, une anthologie transversale" et "Hard'n'Heavy, 1966-1978, sonic attack", ce dernier en duo avec Jean-Sylvain Cabot de Rock & Folk.
Aujourd'hui il y a beaucoup d'ouvrages sur le rock et la pop sous forme de sélections d'albums. Beaucoup trop probablement. On connat principalement par chez nous celui de Philippe Manoeuvre, pourtant il en existe d'autres, plus ou moins bons, dont certains anglosaxons d'ailleurs. Celui-ci est certainement le meilleur de tous. Par sa singularité sans équivalent. Là où tous les critiques dégainent les mmes albums archiconnus et sans suprises (Rolling Stones, Beatles, Led Zeppelin, etc) et offrent plutt des livres d'images pour Nol (reproductions pleines pages des pochettes en couleurs), celui-là, très beau au demeurant (proche d'un livre Gallimard cté papier et couverture, avec pochettes quand mme reproduites) préfère centrer son propos sur les textes, en contextualisant bien la chose, avec un style peu courant et pas rébarbatif. Les choix sont étonnants, et à regarder les liens que le livre a généré, ils ont d séduire plus d'un internaute. De 1964 à 2007, tous les genres sont représentés en 140 albums ce qui n'est pas rien. Et l'on craquera pour Jackson C. Frank, Simon Finn, Jan Dukes de Grey, Linda Perhacs, Vashti Bunyan, Bill Fay, etc. Et se laisser tenter, c'est réellemnt dépuossiérer sa discothèque ! Dans le mme style, chez le mme éditeur, sur des créneaux pas si éloignés, Philippe Robert (des Inrockuptibles) a ausi publié trois autres ouvrages aussi bons et vivement conseillés : "Great Black Music, un parcours en 110 albums", "Musiques expérimentales, une anthologie transversale" et "Hard'n'Heavy, 1966-1978, sonic attack", ce dernier en duo avec Jean-Sylvain Cabot de Rock & Folk.
une alternative intéressante et pertinente .
Un Itinéraire bis est une alternative intéressante et pertinente aux nombreuses anthologies qui nous promettent un parcours balisé dans le monde des classiques.La plume est plutt bonne, les choix très courageux et l'ensemble est clairement incitatif à découvrir tout un tas de groupes inconnus jusqu'ici au bataillon: c'est précisément ce que l'on attends d'un tel ouvrage. Ce livre a aussi le mérite de mettre en lumière tout un tas de groupes décidément trop méconnus (Nick Drake, Zombies, Big Star, Caravan, Spirit...), c'est toujours bon de rappeler qu'odessey ou fives leaves left sont des disques géniaux qui auraient mérité bien mieux.Maintenant ce livre n'est pas non plus la "panacée" c'est une uvre trop personnelle je pense pour y prétendre. Le choix dans l'ensemble manque d'une réelle ligne directrice, "bis" étant un peu trop fourre-tout à mon got: le rapport entre une explosion de pop sucrée faon Zombies et un disque hyper ardu de math-post-jazz-rock? Le deuxième soucis c'est justement la conception très cérébrale du rock et de la pop de l'auteur mme si une partie non négligeable des 140 disques ne versent pas dans ce registre (pas mal de singer songwritter, de country rock, de pop pure jus etc.). Enfin je trouve l'usage du temps imparfait un peu étrange, chez moi a provoque une sorte de distanciation avec ce qui est écrit et a m'empche de rentrer parfois à 100% dedans et partager l'enthousiasme de l'auteur, à cela il faut ajouter des tournures et des métaphores parfois assez alambiqués.Comme a j'ai l'air d'tre critique, c'est parce que je suis exigent car ce livre l'est et est vraiment bien et tout à fait recommandable pour ceux qui cherchent de nouvelles pistes, à s'aérer la tte à sortir des sentiers battues tout en ayant un bon guide qui connait bien la montagne!
Un Itinéraire bis est une alternative intéressante et pertinente aux nombreuses anthologies qui nous promettent un parcours balisé dans le monde des classiques.La plume est plutt bonne, les choix très courageux et l'ensemble est clairement incitatif à découvrir tout un tas de groupes inconnus jusqu'ici au bataillon: c'est précisément ce que l'on attends d'un tel ouvrage. Ce livre a aussi le mérite de mettre en lumière tout un tas de groupes décidément trop méconnus (Nick Drake, Zombies, Big Star, Caravan, Spirit...), c'est toujours bon de rappeler qu'odessey ou fives leaves left sont des disques géniaux qui auraient mérité bien mieux.Maintenant ce livre n'est pas non plus la "panacée" c'est une uvre trop personnelle je pense pour y prétendre. Le choix dans l'ensemble manque d'une réelle ligne directrice, "bis" étant un peu trop fourre-tout à mon got: le rapport entre une explosion de pop sucrée faon Zombies et un disque hyper ardu de math-post-jazz-rock? Le deuxième soucis c'est justement la conception très cérébrale du rock et de la pop de l'auteur mme si une partie non négligeable des 140 disques ne versent pas dans ce registre (pas mal de singer songwritter, de country rock, de pop pure jus etc.). Enfin je trouve l'usage du temps imparfait un peu étrange, chez moi a provoque une sorte de distanciation avec ce qui est écrit et a m'empche de rentrer parfois à 100% dedans et partager l'enthousiasme de l'auteur, à cela il faut ajouter des tournures et des métaphores parfois assez alambiqués.Comme a j'ai l'air d'tre critique, c'est parce que je suis exigent car ce livre l'est et est vraiment bien et tout à fait recommandable pour ceux qui cherchent de nouvelles pistes, à s'aérer la tte à sortir des sentiers battues tout en ayant un bon guide qui connait bien la montagne!
GENERATEUR DE DECOUVERTES INDISPENSABLES A TOUTES DISCOTHEQUES .
Beaucoup d'internautes ont déjà donné leur avis sur ce livre, gage d'un ouvrage important, et qui de fait remue les convictions en matière de rock et de pop. Si vous croyez tout connatre en la matière, détrompez vous, car il est fort probable que cet ouvrage vous indiquera quantité de pistes nouvelles, supplémentaires, comme s'il s'agissait d'un bréviaire des trésors oubliés, encore qu'un livre du mme genre sur les disques totalement obscurs reste à écrire. Philippe Robert, que l'on connait pour sa passion qu'il a su mettre au service de quantité de revues au cours des dix dernières années (qu'est-il d'ailleurs devenu en dehors de ses ouvrages publiés par le mot et le reste ?), nous parle ici de ces méconnus majuscules auxquels toute l'intelligentsia du rock s'est abreuvé quand elle ne l'a pas pillée. En 140 albums, détaillés dans un style flamboyant, des artistes par trop méconnus et aussi indispensables que les plus médiatisés (citons Nick Drake, Judie Sill, Linda Perhacs, Current 93, John Prine, Jackson C. Frank) sont épluchés, mis en perspective, contextualisés et mis en perspective jusqu'à offrir la plus salutaire des alternatives aux discothèques idéales, toutes plus conventionnelles les unes que les autres (Beatles, Rolling Stones, Led zeppelin, etc) parues ces dernières années. Vous voulez écouter des disques la plupart du temps magnifiques, achetez ce livre, et puis les renvois des internautes en ayant rendu compte, je crois, parlent d'eux-mmes. Un livre auquel on revient sans cesse. Qu'on garde à proximité, sur la table de chevet, qui guide vers des découvertes singulières, met le pied à l'étrier, puis nous lche la tte plein d'étoiles et animés d'une nouvelle force : la curiosité.
Beaucoup d'internautes ont déjà donné leur avis sur ce livre, gage d'un ouvrage important, et qui de fait remue les convictions en matière de rock et de pop. Si vous croyez tout connatre en la matière, détrompez vous, car il est fort probable que cet ouvrage vous indiquera quantité de pistes nouvelles, supplémentaires, comme s'il s'agissait d'un bréviaire des trésors oubliés, encore qu'un livre du mme genre sur les disques totalement obscurs reste à écrire. Philippe Robert, que l'on connait pour sa passion qu'il a su mettre au service de quantité de revues au cours des dix dernières années (qu'est-il d'ailleurs devenu en dehors de ses ouvrages publiés par le mot et le reste ?), nous parle ici de ces méconnus majuscules auxquels toute l'intelligentsia du rock s'est abreuvé quand elle ne l'a pas pillée. En 140 albums, détaillés dans un style flamboyant, des artistes par trop méconnus et aussi indispensables que les plus médiatisés (citons Nick Drake, Judie Sill, Linda Perhacs, Current 93, John Prine, Jackson C. Frank) sont épluchés, mis en perspective, contextualisés et mis en perspective jusqu'à offrir la plus salutaire des alternatives aux discothèques idéales, toutes plus conventionnelles les unes que les autres (Beatles, Rolling Stones, Led zeppelin, etc) parues ces dernières années. Vous voulez écouter des disques la plupart du temps magnifiques, achetez ce livre, et puis les renvois des internautes en ayant rendu compte, je crois, parlent d'eux-mmes. Un livre auquel on revient sans cesse. Qu'on garde à proximité, sur la table de chevet, qui guide vers des découvertes singulières, met le pied à l'étrier, puis nous lche la tte plein d'étoiles et animés d'une nouvelle force : la curiosité.
Les chemins buissoniers 140 artistes méconnus du folk-rock ..... .
J'ai eu la chance d'assister à une conférence entrecoupé d'extrait musicaux de Philippe Robert, j'ai découvert un véritable"érudit rock", en dehors de la hype et des impératifs commerciaux bien qu'il ait choisi ici uniquement des albums qu'il est encore possible de se procurer notamment sur le net.Il nous fait donc découvrir des artistes rock/pop/folk aux destins plus ou moins tragiques, souvent oubliés dans les poubelles de l'histoire et quasi-inconnus du grand public comme les Shaggs, Dashiell Hédayat ou Karen Dalton, influence assumée de Devendra Banhart et Cocorosie.Il a plutt bon got puisqu'il a inclus dans cette liste "Colossal Youth"le premier album des délicieux Young Marble Giants qui reste un de mes albums favoris.
J'ai eu la chance d'assister à une conférence entrecoupé d'extrait musicaux de Philippe Robert, j'ai découvert un véritable"érudit rock", en dehors de la hype et des impératifs commerciaux bien qu'il ait choisi ici uniquement des albums qu'il est encore possible de se procurer notamment sur le net.Il nous fait donc découvrir des artistes rock/pop/folk aux destins plus ou moins tragiques, souvent oubliés dans les poubelles de l'histoire et quasi-inconnus du grand public comme les Shaggs, Dashiell Hédayat ou Karen Dalton, influence assumée de Devendra Banhart et Cocorosie.Il a plutt bon got puisqu'il a inclus dans cette liste "Colossal Youth"le premier album des délicieux Young Marble Giants qui reste un de mes albums favoris.
Un vrais itinéraire bis... .
Comme tous le monde le fait je suppose, quand je tombe sur ce genre de livre, je regarde la liste des groupes pour essayer d'en trouver un que je connais. Pour celui-ci il y en avait quand mme un série, dont notamment, Sonic Youth, mon groupe culte.Et là je me suis dit: "quelle bien étrange idée de faire découvrir Sonic Youth par Murray street" qui est pour moi leur pire album, et qui plus est, pas du tout représentatif de ce qu'ils font en général. C'est un peu comme si on voulait faire découvrir U2 par Zooropa...Et du coup, j'ai acheté le livre. Comme quoi je reste ouvert, ce n'est pas parce que Philippe Robert n'a rien compris à un groupe qu'il n'a pas des choses intéressantes à dire sur les autres. Et puis l'idée de cet itinéraire me plaisait!
Comme tous le monde le fait je suppose, quand je tombe sur ce genre de livre, je regarde la liste des groupes pour essayer d'en trouver un que je connais. Pour celui-ci il y en avait quand mme un série, dont notamment, Sonic Youth, mon groupe culte.Et là je me suis dit: "quelle bien étrange idée de faire découvrir Sonic Youth par Murray street" qui est pour moi leur pire album, et qui plus est, pas du tout représentatif de ce qu'ils font en général. C'est un peu comme si on voulait faire découvrir U2 par Zooropa...Et du coup, j'ai acheté le livre. Comme quoi je reste ouvert, ce n'est pas parce que Philippe Robert n'a rien compris à un groupe qu'il n'a pas des choses intéressantes à dire sur les autres. Et puis l'idée de cet itinéraire me plaisait!
Cons Review
Intellectuels Parisiens Nombrilistes .
Je viens de feuilleter cet ouvrage.....et je le trouve particulièrement ennuyeux.Cependant vous n'avez pas tort.Il permet de découvrir des "artistes" hors du commun (je préfère dire "hors circuit", et je sais que cela peu paratre insultant pour certains), peu connus et c'est une chance que beaucoup le soient restés (j'en connais quelques uns car j'ai fait l'effort moi aussi à une époque de me tourner vers le milieux "underground" quand j'estimais avoir fait le tour de tout ce que les années 60-70 avaient à nous offrir).Je me demande si ces "artistes" ne font pas qu'alimenter le milieu des musiciens frustrés n'ayant jamais réussi à tout simplement accorder leur guitare ou a enfoncer quatre touches de piano pour en sortir un accord en septième.Je parle ici des critiques de revues musicales qui n'écoutent pas les disques, mais les dissèques comme on le fait avec les corps des souris blanches lorsque l'on est au collège.....Ne sachant pas ce qu'est l'me de la musique, ne connaissant pas le processus de la création, ils constatent tout simplement (et sans l'avouer à quiconque) qu'ils ne sont pas capable de la moindre trace de création, et n'ayant pas saisi ce processus, ils pensent que les seuls musiciens intéressants sont ceux que personnes ne comprend à part eux et quelques un de leurs amis sous acide lorsqu'ils déblatèrent et déballent des théories hallucinantes et hallucinées sur untel et untel (comme doit le faire notre ami membre du Jury de "la Nouvelle Star" depuis qu'il a lché sa Flying V pour notre plus grand plaisir).Ce "guide" me semble surtout destiné aux personnes qui aiment l'underground et ses expériences plus ou moins "passables" (il y en quelques unes qui valent le détour, il faut tre honnte), et qui attirent exclusivement les élites de la réflexion musicale pensant tre au delà de tout le monde parce que pour eux les grands groupes des années 60 et 70 sont dépassés car connus de la majeur partie des gens qu'ils croisent dans les grandes surfaces (et que l'on gave a force de "prix verts" et autres rabais dans tous les sens).Ils sont donc assez déus quand ils évoquent "Led Zeppelin", "Cream", "Deep Purple", les "Rolling Stones", "Vanilla fudge", "Beck Boggart Appice" (la ca m'étonnerait que beaucoup de consommateurs Fnac connaissent ces derniers), j'en passe et des meilleurs, car tout le monde les connait, mais ils ne connaissent que leurs gros tubes.........des titres ne reflétant malheureusement pas l'me, la valeur musicale et historique, ainsi que le travail qu'ils ont pu fournir au long de leur existence ("Stairway to heaven, "Satisfaction", "Smoke on the waer" et autres titres ultra rincés).Je tiens quand mme à vous signaler que ce que l'on connait en France de la musique anglo-saxonne de ces années là, des groupes ayant existés, n'est rien par rapport a ce qui s'est fait sur le mme créneau mais qui est resté inconnu dans nos frontières car que la culture musicale ne se résume dans notre pays qu'à une chose :--------> vendre les ttes d'affiche sans se fatiguer !!!Le plus honnte lors de la rédaction et l'édition de cet ouvrage, aurait était d'y ajouter un sous-titre qui aurait évité à beaucoup de gens de perdre 20 euros en pensant se cultiver musicalement.A savoir : "inventaire de la musique pour la fausse élite : références imbuvables et connues d'elle-seule".Bon courage a ceux qui viennent de se le faire offrir.....
Je viens de feuilleter cet ouvrage.....et je le trouve particulièrement ennuyeux.Cependant vous n'avez pas tort.Il permet de découvrir des "artistes" hors du commun (je préfère dire "hors circuit", et je sais que cela peu paratre insultant pour certains), peu connus et c'est une chance que beaucoup le soient restés (j'en connais quelques uns car j'ai fait l'effort moi aussi à une époque de me tourner vers le milieux "underground" quand j'estimais avoir fait le tour de tout ce que les années 60-70 avaient à nous offrir).Je me demande si ces "artistes" ne font pas qu'alimenter le milieu des musiciens frustrés n'ayant jamais réussi à tout simplement accorder leur guitare ou a enfoncer quatre touches de piano pour en sortir un accord en septième.Je parle ici des critiques de revues musicales qui n'écoutent pas les disques, mais les dissèques comme on le fait avec les corps des souris blanches lorsque l'on est au collège.....Ne sachant pas ce qu'est l'me de la musique, ne connaissant pas le processus de la création, ils constatent tout simplement (et sans l'avouer à quiconque) qu'ils ne sont pas capable de la moindre trace de création, et n'ayant pas saisi ce processus, ils pensent que les seuls musiciens intéressants sont ceux que personnes ne comprend à part eux et quelques un de leurs amis sous acide lorsqu'ils déblatèrent et déballent des théories hallucinantes et hallucinées sur untel et untel (comme doit le faire notre ami membre du Jury de "la Nouvelle Star" depuis qu'il a lché sa Flying V pour notre plus grand plaisir).Ce "guide" me semble surtout destiné aux personnes qui aiment l'underground et ses expériences plus ou moins "passables" (il y en quelques unes qui valent le détour, il faut tre honnte), et qui attirent exclusivement les élites de la réflexion musicale pensant tre au delà de tout le monde parce que pour eux les grands groupes des années 60 et 70 sont dépassés car connus de la majeur partie des gens qu'ils croisent dans les grandes surfaces (et que l'on gave a force de "prix verts" et autres rabais dans tous les sens).Ils sont donc assez déus quand ils évoquent "Led Zeppelin", "Cream", "Deep Purple", les "Rolling Stones", "Vanilla fudge", "Beck Boggart Appice" (la ca m'étonnerait que beaucoup de consommateurs Fnac connaissent ces derniers), j'en passe et des meilleurs, car tout le monde les connait, mais ils ne connaissent que leurs gros tubes.........des titres ne reflétant malheureusement pas l'me, la valeur musicale et historique, ainsi que le travail qu'ils ont pu fournir au long de leur existence ("Stairway to heaven, "Satisfaction", "Smoke on the waer" et autres titres ultra rincés).Je tiens quand mme à vous signaler que ce que l'on connait en France de la musique anglo-saxonne de ces années là, des groupes ayant existés, n'est rien par rapport a ce qui s'est fait sur le mme créneau mais qui est resté inconnu dans nos frontières car que la culture musicale ne se résume dans notre pays qu'à une chose :--------> vendre les ttes d'affiche sans se fatiguer !!!Le plus honnte lors de la rédaction et l'édition de cet ouvrage, aurait était d'y ajouter un sous-titre qui aurait évité à beaucoup de gens de perdre 20 euros en pensant se cultiver musicalement.A savoir : "inventaire de la musique pour la fausse élite : références imbuvables et connues d'elle-seule".Bon courage a ceux qui viennent de se le faire offrir.....
Product Image
Product Details
EAN : 9782915378313Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 9 inches
Width : 7 inches
Author : Philippe Robert
Binding : Broché
Manufacturer : Le Mot et le reste
PublicationDate : 2006-10-17
Publisher : Le Mot et le reste
SKU : 9782915378313_DMEDIA_US
Studio : Le Mot et le reste
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