samedi 30 juillet 2011

Rock progressif


Prix : EUR 25,00
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Un sans faute. .

La seule faute que l'on pourrait reprocher à l'auteur est une faute de got: celle d'aimer le rock progressif! Mais a, c'est comme la potion magique, quand on est tombé dedans tout petit...Bon point pour commencer, la couverture est jolie, sobre, mais classe. Par contre, à l'intérieur les reproductions de pochettes font assez photocopies antédiluviennes, mais le prix du livre,assez abordable pour un tel pavé, explique cela.L'auteur, Aymeric Leroy, est le fan idéal de rock-prog: cultivé, intelligent, mais lucide. On sent que la technique musicale ne lui est pas étrangère et sa vision du rock progressif, de son origine à son déclin est très clairvoyante, pour ne pas dire extralucide.Du proto-prog, ébauché par le "sergeant pepper" des Beatles au néo-prog des années 90 et 2000, toutes les périodes et tous les styles, mmes les plus minoritaires sont abordés. Mme pour un vieux de la vieille, on apprend encore quelque chose! L'histoire de cette musique est aussi traitée par nationalités,de la Suède à l'Espagne en passant par la Hongrie et le Japon . La classification en rock progressif n'est pas trop sectaire, car on y parle aussi de Zappa, par exemple.Les chapitres sur le néo-prog ( Marillion, IQ, Spock's Beard, Flower Kings, etc...) sont très complets mais ne se bercent pas de fausses illusions.Pour tous les fans de progressif (régressifs?), c'est un voyage dans le temps, on retrouve des noms oubliés , comme un malle d'enfant que l'on ouvre dans le grenier...Pour les moins érudits, ce livre est une formidable encyclopédie, mais ne se limite pas à une énumération stérile: l'étude sociologique, économique, artistique, de ce mouvement est très bien vue et met à mal de nombreux clichés dont on affuble un peu trop souvent le Prog. Ce livre serait aussi à conseiller au réfractaires du rock progressif, mais le manque de références est un peu gnant pour une parfaite compréhension de l'ouvrage.Le livre n'est absolument pas ennuyeux, il est constellé d'anecdotes valant leur pesant de cacahouettes, et pour tre encore plus complet, il faudrait qu'il aborde la vie privée des différents progtagonistes...Bref, un ouvrage, une bible, admirables et l'on aimerait trouver l'équivalent sur le hard-rock, le punk (20 pages?) ou la musique électronique.Un livre qui fera date dans l'histoire de la musique en langue franaise. Un grand merci à l'auteur( et à Chris "c'est le moog" pour l'info).
Indispensable. .

J'étais sceptique lorsque j'ai ouvert ce livre pour la première fois. Un essai sur le rock progressif écrit par un Franais?!! Quand on connat les inépuisables réserves de parti-pris dont font régulièrement preuve les pseudo critiques de la presse spécialisée franchouillarde (Rock & Folk et Inrockuptibles en tte), j'étais quand mme en droit d'avoir quelques craintes. Eh bien j'avais tort. Aymeric Leroy est un respectable passionné d'un genre musical injustement décrié au nom d'un bon got que les dieux auraient accordé aux mélomanes à compter de la fin des années 70. De plus, contrairement à la plupart de ses collègues scribouillards rockiens, Leroy sait écrire. Il a du vocabulaire et structure parfaitement ses argumentaires, sans chercher à imposer son point de vue personnel à son lecteur."Rock Progressif", comme l'ont déjà dit d'autres lecteurs, est une véritable bible consacrée à un style musical né avec le premier disque de King Crimson en 69 et mort d'indigestion sous les lazzis une dizaine d'années plus tard. Un genre musical qui a produit des monstruosités, mais aussi de fabuleux trésors qui risquent malheureusement d'échapper à l'attention des nouvelles générations enclines à croire que Radiohead a tout inventé et qu'avant le grunge la Terra Musica n'était qu'un désert peuplé de Teddy Boys. Prions pour que quelques uns accèdent à l'illumination en lisant ce livre remarquable. Pour nous dépeindre la grandeur et la décadence du Prog , Aymeric Leroy suit une trame chronologique, s'accordant régulièrement des digressions afin de parler de la production locale de pays annexes à l'axe UK/US. Tout au long de son livre, il consacre aussi de longs passages à l'explication et la critique des oeuvres majeures du genre. Et il le fait bien (voir les pages lumineuses portant sur Foxtrot ou Brain Salad Surgery). Pour ne rien gter, il aborde aussi les résurgences progressives postérieures aux années 70, tout en les évaluant à leur juste niveau. Il sait en outre faire preuve d'une réelle clairvoyance dans son analyse du contexte culturel et social qui a permis l'éclosion du rock progressif.Mais, le plus important finalement, c'est que ce livre se lit avec énormément de plaisir, car il est très bien documenté et recèle de nombreuses anecdotes. Je ne suis pas tout jeune. Le Prog, je l'ai découvert en 72, en entendant Watcher of The Skies dans l'émission de radio de Jean-Bernard Hebey. Depuis, je me suis ouvert à des styles très divers: punk, cold wave, classique, jazz, etc. Eh bien ce livre m'a donné envie de plonger dans les tréfonds de ma discothèque pour redécouvrir les merveilles d'une ère fastueuse du rock intelligent.Merci M. Leroy. Mme si j'ai une conception beaucoup plus large que la vtre de ce qui est "prog" et ce qui ne l'est pas. Je crois néanmoins que les anglo-saxons vont nous envier de disposer d'un ouvrage de la qualité du vtre. Et dans cent ans, les historiens de la musique populaire du vingtième siècle gagneront à lire votre prose.A recommander à tous les amoureux de musique qui n'ont pas de bouchons de cérumen dans les oreilles et qui ne sont pas esclaves de leurs aprioris.
Remarquable ! .

Tous les aficionados du prog s'accorderont sur un point : le travail d'Aymeric Leroy est remarquable, d'autant plus - faut-il le préciser? - que l'auteur est né à l'époque où nous parcourions fébrilement les bacs à vyniles à la rechercher d'un nouveau Soft Machine ou autres Floyd...et des émotions que génère le prog.Tant pis si mon commentaire fait redite, mais vraiment, c'est complet (merci d'avoir débordé sur Return to Forever et consors), bien écrit (au risque de rebuter parfois de jeunes lecteurs au vocabulaire SMS) et agréable à lire.Allez, je vais bien trouver à redire : y a t'il une plus value à mentionner la durée de (très) nombreux morceaux tout au long du livre ?A classer parmi les ouvrages de référence comme le dictionnaire du rock de Michka Assayas. Dictionnaire du rock, coffret de 3 volumesRD.
une somme un sens de l'analyse remarquable .

En deux mots voici une somme indispensable, pour l'instant inégalée en France, sur un sujet honni des critiques, tant par ceux de Rock & Folk (sauf dans les années 70 sous les plumes de Jean-Marc Bailleux ou Michel Bourre) que des Inrockuptibles (en dehors de Philippe Robert ayant tenté de timides incursions dans ses colonnes, en partie relayée par ses ouvrages "Rock, Pop" et "Musiques expérimentales" chez le mme éditeur, hébergeant par ailleurs aussi les ouvrages de Eric Deshayes et Dominique Grimaud sur le krautrock et l'underground musical en France, sans oublier le Gonin sur Magma : tous indispensables et procédant de manière plus ou moins directe à la réhabilitation du prog, ouvrages tous supérieurs à celui paru chez Camion Blanc, fin de la parenthèse). Ouvrage très fort, aux analyses et mises en perspectives historiques subtiles. Les pages sur King Crimson sont rien moins qu'excellentes (à quand un livre sur ce sujet, sur le modèle du Pink Floyd de Leroy ?), tout comme le sont celles sur Gentle Giant ou Van Der Graaf Generator. L'auteur, qui plus est, ne se berce d'aucune illusion, et accorde des pages bien senties au déclin du genre, en utilisant notamment les propos tenus par le critique anglais Chris Welch, du Melody Maker, à l'endroit de "Passion play" de Jethro Tull que l'on serait bien avisé de reconsidérer, mme si l'on peut lui préférer "Thick as a brick". Je suis assez d'accord avec La chronique de Lionel R : le seul défaut du livre est le nombre de pages (les dernières) consacrées à des groupes de peu d'intért, qui mériteraient une fois de plus la vindicte d'un Chris Welch. Certes on trouvera Radiohead et Mars Volta, mais d'autres groupes auraient mérité un zoom, voire d'tre dénichés afin de faire de vraies découvertes, comme celles proposées par les livres "Rock, Pop" ou "Hard'n'Heavy" chez le mme éditeur, car il y en a encore à faire, mme dans le passé, comme y invitent des labels comme Erebus ou Esoteric Recordings (tous disponibles sur amazon.fr). Un grand bravo, mme si je n'ai jamais été fan de Rush (le génial Jim O'Rourke parait-il l'est), de Emerson, Lake & Palmer exception faite du premier album, ou de Barclay James Harvet et Kansas ! La passion de l'auteur n'a pas de prix. Ses pages sur l'école de Canterbury dont il est également un spécialistes sont tout bonnement remarquables.
une somme qu'on souhaiterait voir complétée .

Par où commencer ? Aymeric Leroy, les amateurs de musiques innovantes des années 1970 le connaissent bien, ne serait-ce que comme l'un des spécialistes de l'école dite de Canterbury (Caravan, Hatfield & The North, Soft Machine, etc) et animateur d'un site dénommé calyx, très bon. Enfin, la musique progressive se voit consacrée un ouvrage digne de ce nom, qui coincide qui plus est avec un retour en grce du genre. Des musiciens connus ont déclaré à et là vénérer certains de ses fleurons, ce qui était inenvisageable il y a quelques années encore. Je m'explique : LCD Soundsystem adore "Close To The Edge", Richard Youngs et Vincent Gallo sont fans de Yes (première période disons), la magazine anglais Wire a consacré un article à King Crimson récemment, Julian Cope adore Van Der Graaf Genrator, etc. a commence à faire beaucoup et à compter. De son cté, dans Rock & Folk, Philippe Thyere excepté, l'on continue à faire la sourde oreille, un Nicolas Ungemuth n'ayant jamais caché combien il assimile les laudateurs du genre à des amateurs de musique totalement niais : chacun ses gots mme si ses jugements paraissent proférés sans grande connaissance. Le prog, comme le jazz-rock, méritait largement ses 400 pages. Je vois d'ailleurs au passage qu'un internaute réclame la mme chose pour le hard-rock : a existe, sous la plume de Jean-Sylvain Cabot et Philippe Robert, chez le mme éditeur, sous le titre "Hard 'n' Heavy, 1966 - 1978, Sonic attack", ouvrage qui apparemment va tre complété par un deuxième tome, ouvrage auquel on peut coupler aussi le "Protat" (disponible lui aussi en ligne sur ce mme site). Bon Leroy et le prog. Belle définition. C'est à dire, notamment, "émencipation des contraintes de la structure couplet / refrain", et bel historieque, avec bien sr Yes, Van Der Graaf Genrator, King Crimson, Genesis, etc. Finalement, ce qu'on peut lui reprocher, de mauvaise grce, c'est de parler de ces goupes jusque dans leurs pires oeuvres (Emerson, Lake & Palmer en a commis quelques-unes ne nous le cachons pas), mais aussi dans une sorte de renouveau peu intéressant à la limitée du pastiche (Marillion & consorts). Du coup, excusez-moi, mais au vu des rééditions actuelles, je me prends à regretter qu'il ne soit pas plus fait état de groupes comme Cressida, Gracious, Marsupilami, Jonesy, etc, mme s'il est vrai que beaucoup d'Italiens sont là qui mériteraient un livre à eux seuls. On aimerait voir tous ceux qu'entre autres un label comme Esoteric Recordings défend et réédite et ces rarissimes pépites qu'on redécouvre grce à Forced Exposure. Et pour les groupes nouveaux, il n'y a pas que Mars Volta ou Radiohead mme s'il est pertinent d'tre allé les chercher. Je songe par exemple au génial Zdrastvootie sur Holy Mountain, superbe. Bon on tient là une Bible quand mme. Maintenant, messsieurs du mot et du reste, il nous faudrait un livre sous forme d'albums en évitant les daubes (car il y en a pléthore dans ce genre). Messieurs Cabot et Robert seraient-ils intéressés ? Le prog, c'est pas si loin du hard, non ? Dans leur livre d'ailleurs, il y a beaucoup de groupes qui louchent vers le prog, ne serait-ce que Iron Butterfly, Yesterday's Children, etc. En tous cas, la collection "Formes" du Mot et du Reste est une très belle collectyion. Je me souviens d'y avoir d'abord acheté "Rock, Pop, un itinéraire bis en 140 albums essentiels" de Philippe Robert, une autre vraie bible, puis les autres ouvrages de ce mme auteur. J'attends, sur le mme modéèle, impatiemment, après le krautrock, l'underground franais, les musiques noires, expérimentales, etc. : le folk, le rock psychédélique, le punk, la chanson franaaise de qualité, etc. Merri Monsieur Leroy, merci le Mot et le Reste.
Un Pavé (le plus complet) pour les amoureux du genre .

Je n'écrirai pas un très long commentaire, tout est déjà dit et avéré. Je vais donc me limiter à synthétiser ce que j'en pense sans rentrer dans des critères qualitatifs supplémentaires.Le pavé de référence pour tous amoureux du PROGressif pour en comprendre son histoire, son évolution, son déclin, son renouveau.Je le prend souvent en référence pour recouper avec mes connaissances du sujet qui s'approfondissent à chaque relecture.Le récit est corsé, l'écriture est complexe mais la lecture est aisée lorsque l'on a de bonnes bases (Groupes, Artistes, Genre) sur le sujet.Il pourrait tre rébarbatif pour un Novice car on ne lit ce type de bouquin que par passion et le vocabulaire est très riche pour un SMSien.Ce n'est pas le roman de l'été mais de petites anecdotes sur les compositions, albums, membres, ... renouvellent l'intért lors de la lecture.L'auteur Aymeric Leroy a créé un Fanzine et un site Internet "Big Bang" qu'il est de bon got de connaitre pour ses Chroniques justes et sans concessions sur les groupes PROGressif.Le seul reproche : des illustrations colorées auraient été un plus indéniable
un livre important pour notre héritage européen .

Voilà enfin un livre qui donnera, presque tout le temps, une image et une idée précise et avisée de ce qu'était le rock progressif des années soixante-dix, époque et phénomène musical (et culturel) que je n'hésite pas (n'en déplaise à certains lecteurs attachés à leur électro, leur post rock ou leur métal actuels) à qualifier haut et fort, en assumant parfaitement cette qualification, d'ge d'or du rock, voire mme de la musique dans son ensemble, si on part du principe que le rock progressif est le triomphe de la réconciliation (chère à la contre culture de la fin des 60's) entre musique populaire et sophistication savante.là ou le rock traditionnel peut rebuter car trop limité et basique, là où le classique et le jazz peuvent déconcerter et rebuter car trop complexe, savant ou intellectuel, le rock progressif constitue cet équilibre merveilleux entre des aspirations cérébrales, intellectuelles et savantes et un état d'esprit "Bohme" (avec ce qu'il peut contenir de libertaire, d'excitant et d'énergique) tout droit issu de l'époque fleurie des hippies et de la contre culture pop des sixties psychédéliques.l'art d'aimer la symphonie ou la sonate à la lumière de l'esprit plus "bonne franquette" du rock. Pour moi, en tant que musicien et compositeur, c'est la valeur la plus importante. J'ai du mal avec les rockers trop rimbaldiens et no future, de la mme manière que j'ai du mal avec les élèves du conservatoire, ni l'un ni l'autre ne comprenne vraiment le rock progressif, car souvent trop cloisonnés dans des compartiments socio-culturels étanches. Pour moi, le rock progressif est la victoire de l'anéantissement de ces cloisons socio-culturelles trop artificielles et commodes aux idéologies politiques (l'intelligentsia marxisante du punk s'en fait une règle de base) pour exister vraiment...Aymeric Leroy explique tout a à merveille, avec un art de l'écriture à la hauteur du projet. Ce livre est un chef d'oeuvre, et un excellent et précieux porte parole, mémoire d'un héritage culturel européen post 68, merveilleux rejeton de ce que les trente glorieuses des baby boomers ont pu engendrer de meilleur, et qu'une certaine presse a voulu avec ténacité enterrer, ne retenant que les plus "rockement corrects" comme Led Zeppelin, Jimi Hendrix, Bowie, Lou reed ou Neil Young... parmi quelques autres. Seul Pink Floyd avait, presque indemne, survécu dans les mémoires collectives. Et une merveille comme Genesis n'était plus, dans la tte des gens, que le groupe des années 80 de variété de Phil Collins... Merci la presse!! Si seulement le grand public d'aujourd'hui pouvait connatre un chef d'oeuvre comme "The fountain of Salmacis"....Puisse ce livre rétablir dans les consciences la valeur de ce courant musical bigarré qui, mme s'il contenait certaines choses inégales en qualité artistique, n'en demeure pas moins d'un bien meilleur cru (sonore et mélodique, il n'y a qu'à voir l'extrme soin avec lequel on composait des suites d'accords très élaborées à l'époque) que bien des choses aujourd'hui, où sous prétexte qu'on vit à l'ère du minimalisme, on gomme et dissimule des lacunes en imagination créatrice, surtout dans les combinaisons d'accords, les harmonies vocales et dans l'abandon quasi total en rock de nos jours de l'idiome classique et symphonique.Les sons de ces instruments merveilleux qu'étaient l'orgue Hammond et le mellotron ont malheureusement été, surtout pour le second, abandonné dans leur usage le plus liturgique et le plus symphonique, ce qui constituait l'ambiance et la sonorité la plus distinctive du rock prog de cette époque.Bien sr, il existe la scène prog d'aujourd'hui, mais on n'atteint pas les sommets mélodiques et grandioses de cette époque, et le son actuel n'est pas toujours du meilleur cru pour rendre justice à de telles oeuvres. Je comprend le relatif silence de l'auteur au sujet de cette scène néo-prog... mme s'il en parle tout de mme et cite quelques bons exemples comme Anglagard. Mais quand on est accro au son 70's, c'est dur d'aimer autre chose, il y a quelque chose d'enchanteur et d'ensorcelant dans le son d'un mellotron ou d'un Hammond, et ce son plus acoustique et profond de la batterie de l'époque, rien à voir avec la frappe triggerisée (que le métal affectionne) et le gros son mat des batteries d'aujourd'hui, où toute résonance semble proscrite, erreur fatale (hérésie esthétique)... et le son des grattes horribles et trop identiques et uniformes d'une formation à l'autre. Le rock progressif est aussi une excellente école du "bon vieux son", le son "vintage" comme disent les professionnels (mme si j'ai horreur de cette appellation qui fait plus label de vente qu'autre chose, bref qui fait "notre époque")Un grand bravo à Aymeric Leroy!
Une frustration enfin réparée! .

Merci monsieur Aimeric pour avoir comblé cette honteuse lacune.Il y aura 40 ans que j'écoute avec ferveur les musiques progressives.j'attendais cet ouvrage avec l'énergie du désespoir.Me voici récompensé avec la perspective de nombreuses et passionnantes heures de lecture.Un tout grand merci!


Product Details

EAN : 9782360540037
Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Aymeric Leroy
Binding : Broché
Manufacturer : Le mot et le reste
PublicationDate : 2010-04-25
Publisher : Le mot et le reste
SKU : 2-2360540033
Studio : Le mot et le reste

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